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Teaser Pour rire pour passer le temps - YouTube

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Pour Rire Pour Passer Le Temps Jean Ferrat

Cette pièce est un miroir, la surface d'une eau stagnante qui renvoie le reflet acéré du type humain: décideur, exécutant, victime et quand sur le plateau aucun type ne convient, l'image est celle du spectateur ni mouillé, ni fatigué, ni meurtri, mais complice.

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Auront lieu des lectures, ateliers et présentations de textes de S. Levey pour le public viennois en collaboration avec l'auteur. Dans le texte, le jeu est décidé pour vaincre l'ennui. Pour rire pour passer le temps - Ô ciel... - Lazzi Zanni. La ligne directrice de mise en scène nous oriente donc davantage vers des auteurs du temps et de l'ennui comme Samuel Beckett que vers des auteurs de la violence (Boal, Gabily, Bond…). Notre volonté n'est pas de faire de cette mise en scène un spectacle trash. Ce serait possible, cela a déjà été fait et cela ne nous intéresse pas en tant que matériau théâtre. Nous pensons qu'un tel parti-pris laisse forcément une expression et une lecture univoque du texte (tellement plus riche…). Nous voulons donc renforcer le contenu du texte, son message, non pas en appuyant où il fait mal mais au contraire en essayant d'enrober la cruauté quotidienne dans un jeu de tous les instants.

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Il s'agit aussi d'un jeu. Jouer à la torture. Jouer au théâtre. Jouer à être adulte et jouer pour de faux. Jouer à faire semblant. Faire croire. Faire rire. Faire pleurer. Faire peur. Faire passer le temps. Un propos radical où les rapports humains sont sans concession. Une dénonciation de la violence par la violence poussée à son paroxysme.
Tu lui dis qu'il est un moins que rien ». Les velléités de rébellion du 1 (« Je m'en vais… C'est grave. C'est tout nouveau pour moi… ») sont vite matées et le discours persécutif intériorisé devient le sien: « – Pourquoi tu frappes? – Parce que je suis un homme avec des poils. Pour rire pour passer le temps libre. Il m'a dit fais chier, c'est pas beau. Quand je suis pas content, je frappe. Je frappe parce que je suis supérieur à lui… – Je résume: tu frappes ce couille de moineau parce qu'il est moins que rien…». Quant aux scènes 4 à 6, elles constituent un autre crescendo dans la perversité des bourreaux qui flambe sur une sonate de Schubert. Après s'être servi du 1 pour tyranniser le 4, constatant qu'il ne serait jamais à leur hauteur, ils changent tranquillement et en toute bonne foi leur fusil d'épaule… Un retournement de situation à déconcerter les amateurs de thriller les plus hards. Pour le final (scène 7), le comédien sort de la cage et, faisant subitement face à chaque spectateur en ligne de mire, s'adresse à lui… Et là n'est que le début de ce qui s'ensuivrait si la lumière ne se faisait dans la salle… Ce texte de Sylvain Levey publié aux Editions Théâtrales est remarquablement mis en scène par Thierry Escarmant (qu'on retrouvera en janvier prochain dans le cadre du Festival Trente Trente avec son « CHTO, interdit aux moins de 15 ans », fable contemporaine sur le déracinement).
Van Oers Sénégal