Nini57950 19 mai - 07h02 Très beau cul avec lequel j'aimerais beaucoup jouer avec ma grosse bite 😜 star Ce commentaire a été étoilé par Rebeu57 Fred19 3 mai - 08h33 Bonjour Mr est très chanceux. Sublimes fesses très bien mises en valeur. Mme est voluptueuse, plantureuse et généreuse. Un délice j'adore ses formes. Quel plaisir merci à vous chers voisins. À très vit j'espère Mecbienmonté 13 avril - 13h55 Incroyable cul j'aime PJ18A19 11 avril - 08h32 Les bonnes fesses, pas les grosses fesses! 🍑🍆🔥 CFL 7 avril - 14h27 Magnifique cul, je pourrais te prêter celui de ma femme.... Cristophe33 5 avril - 21h42 Idéal à prendre à 4 pattes je voudrai bien échanger la mienne avec la votre Anonyme 5 avril - 18h36 Si tu veux on peux échanger mos femme elle aussi beurette de Strasbourg jpbat 5 avril - 12h34 sublime ce cul! Les grosses fesses de ma femme. de part' à forme et sa taille, grosse envie de glisser furtivement ma langue sous ce string et découvrir une belle rondelle qui demande à être caresser, je suppose que le reste du corps est de même qualité, j en suis tout dur la ( voir mon modeste album) tu est une très belle femme, j adore.
Bonjour à tous, J'aime beaucoup les femmes avec de grosses fesses et gros culs, rien que de les regarder me fait bonder grave... alors Messieurs venez partager avec moi les photos ou vidéos de vos femmes, faites monter ma chaleur et je vous dirai tout ce que j'aimerais faire avec elles celles de ma cochone sont elles à ton goût JEUS Rien à dire! Juste comme je l'aime bien bondit et ferme, en plus Mme a un joli corps, j'avoue que je bonde grave sur elle. Merci Jeus pour le partage et je ne dirai pas non si t'en a encore. Les grosses fesses de ma femme : Rebeu57 nous montre ses fesses pour la 1ère fois sur le site JeMontreMesFesses.com. De très jolies courbes bien sympa à regarder Photos recentes. Vous aimez? hummm, superbe pierrod Miss Pierrod, joli fessier très attirant.... Mme Pierrod a de très belles fesses MP envoyéavec photo du gros cul de ma femme hummm, superbe aimelesex Quelle cul en levrette le panard @Bibi131313, hummm... un corps et des formes qui invitent aux caresses... Miss Bibi quel cul d'enfer, terriblement tentant!!!!! Merci bibi131313, il est vraiment ton gros cul mais aussi ton gros ventre.
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Dimanche à Orly est une chanson de Gilbert Bécaud, sortie en 1963. Elle a été écrite par Pierre Delanoë et Gilbert Bécaud. Cette chanson est généralement présentée comme un hommage au nouvel aéroport d'Orly dont l'aérogare a été inaugurée deux ans auparavant, mais qui évoque également le sort des classes moyennes qui ne peuvent pas encore s'offrir des voyages en avion. Histoire et contexte [ modifier | modifier le code] L'aéroport d'Orly [ modifier | modifier le code] Lorsque Gilbert Bécaud et Pierre Delanoë écrivent la chanson Dimanche à Orly en 1963, l' aérogare sud vient d'être inaugurée deux ans auparavant par le président Charles de Gaulle. Cette période correspond à l'exploitation commerciale des caravelles, un des premiers avions à réaction que beaucoup de Français peuvent venir admirer sur les terrasses d'Orly. À cette époque, trois millions de visiteurs se rendent sur le site [ 1]. Thème [ modifier | modifier le code] La chanson décrit la vie monotone d'un jeune homme vivant dans un appartement « tout confort » d'un grand ensemble, typique des années 1960, avec ses parents et qui, pour tromper son ennui, le dimanche, s'en va à l'aéroport d'Orly voir décoller les avions, un passe-temps qui ne lui coûte rien et qui lui permet de rêver à une autre vie: « Je m'en vais le dimanche à Orly.
A l´escalier 6, bloc 21, J´habite un très chouette appartement Que mon père, si tout marche bien, Aura payé en moins de vingt ans. On a le confort au maximum, Un ascenseur et un´ sall´ de bain. On a la télé, le téléphone Et la vue sur Paris, au lointain. Le dimanche, ma mère fait du rangement Pendant que mon père, à la télé, Regarde les sports religieusement Et moi j´en profit´ pour m´en aller. Je m´en vais l´dimanche à Orly. Sur l´aéroport, on voit s´envoler Des avions pour tous les pays. Pour l´après-midi... J´ai de quoi rêver. Je me sens des fourmis dans les idées Quand je rentre chez moi la nuit tombée. A sept heures vingt-cinq, tous les matins, Nicole et moi, on prend le métro. Comme on dort encore, on n´se dit rien Et chacun s´en va vers ses travaux. Quand le soir je retrouve mon lit, J´entends les Bœings chanter là-haut. Je les aime, mes oiseaux de nuit, Et j´irai les retrouver bientôt. Oui j´irai dimanche à Orly. Pour toute une vie... Y a de quoi rêver. Un jour, de là-haut, le bloc 21 Ne sera qu´un tout petit point.
A l'escalier 6, bloc 21, J'habite un très chouette appartement Que mon père, si tout marche bien, Aura payé en moins de vingt ans. On a le confort au maximum, Un ascenseur et un' sall' de bain. On a la télé, le téléphone Et la vue sur Paris, au lointain. Le dimanche, ma mère fait du rangement Pendant que mon père, à la télé, Regarde les sports religieusement Et moi j'en profit' pour m'en aller. Je m'en vais l' dimanche à Orly. Sur l'aéroport, on voit s'envoler Des avions pour tous les pays. Pour l'après-midi... J'ai de quoi rêver. Je me sens des fourmis dans les idées Quand je rentre chez moi la nuit tombée. A sept heures vingt-cinq, tous les matins, Nicole et moi, on prend le métro. Comme on dort encore, on n'se dit rien Et chacun s'en va vers ses travaux. Quand le soir je retrouve mon lit, J'entends les Boeings chanter là-haut. Je les aime, mes oiseaux de nuit, Et j'irai les retrouver bientôt. Oui j'irai dimanche à Orly. Pour toute une vie... Y a de quoi rêver. Un jour, de là-haut, le bloc vingt et un Ne sera qu'un tout petit point.
Paroles de Dimanche à Orly A l'escalier 6, bloc 21, J'habite un très chouette appartement Que mon père, si tout marche bien, Aura payé en moins de vingt ans. On a le confort au maximum, Un ascenseur et un' sall' de bain. On a la télé, le téléphone Et la vue sur Paris, au lointain. Le dimanche, ma mère fait du rangement Pendant que mon père, à la télé, Regarde les sports religieusement Et moi j'en profit' pour m'en aller. Je m'en vais l' dimanche à Orly. Sur l'aéroport, on voit s'envoler Des avions pour tous les pays. Pour l'après-midi... J'ai de quoi rêver. Je me sens des fourmis dans les idées Quand je rentre chez moi la nuit tombée. A sept heures vingt-cinq, tous les matins, Nicole et moi, on prend le métro. Comme on dort encore, on n'se dit rien Et chacun s'en va vers ses travaux. Quand le soir je retrouve mon lit, J'entends les Bœings chanter là-haut. Pour toute une vie... Y a de quoi rêver. Un jour, de là-haut, le bloc vingt et un Ne sera qu'un tout petit point BECAUD, GILBERT FRANCOIS LEOPOLD / DELANOE, PIERRE © Universal Music Publishing Group, Warner/Chappell Music, Inc. Paroles powered by LyricFind
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