Anviwonman Minis Planifikasyon Avyol Fleran Katèl ke majistra Demeyis…. Jan Bèbè, 30 Dawou 2017 P. 6, 14 [Minis Frits Kayo, Travo Piblik]; Haïti-observateur 30 août – 6 septembre 2017 La diaspora haïtienne: le carré d'as entre les mains des pouvoirs tèt kale, par Me. Elco Saint Amand. 7 SUR LA ROUTE DU CINÉMA – le FFM (Festival des films du monde) sans papiers depuis la présidence Laferrière. par Dan Albertini. 8 EDITORIAL – (francais) La taxe de 10 000 gourdes imposée sur la diaspora: Une défense incohérente du régime haïtien P. 10 – (English) The 10, 000-gourde tax imposed on the Diaspora: An incoherent defense of the Haitian regime P. Haiti observateur 2017 mediaart artnumerique. 11 – Haïti-Observateur P. Box 356237; Briarwood, NY 11435-6235 DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ – Trésors de Versailles sur la route des louis à napoléon Paris craint Paris tremble. Par Dan Albertini, P. 13 NÉCROLOGIE – Une perte douloureuse, par William Régis journaliste. 13 Le Marché Musical après la Tournée Estivale 2017 en Haïti des Groupes Musicaux d'outre-Mer.
Il explique qu'il se trouve à Grande Ravine, un district populaire au sud de Port-au-Prince auprès de Ti Mepri, un chef de gang dans le quartier: " Nous voulons montrer au gens le genre de paix que nous voulons pour le pays. C'est une question de paix entre "Ti Mepri" et les autres gentlemen de Grande Ravine", explique-t-il en référence à d'autres chefs de gang dans la zone. HAITI OBSERVATEUR VOL. XXXXVII, NO. 33 NEW YORK 30 AOÛT 2017 – Haiti-Observateur. Il poursuit en affirmant que les habitants d'Haïti sont fatigués de leur qualité de vie: "Ils veulent une meilleure vie, ils veulent un changement pour ce pays, que les gens qui vivent à l'étranger puissent venir et investir pour aider ceux qui ne peuvent pas survivre financièrement". Dans la troisième vidéo, le pasteur Berger moderne parle avec le chef de gang "Ti Mépri", qui apparaît le visage couvert par une cagoule. À Port-au-Prince, les manifestations contre la corruption et l'impunité accordée aux gangs durent depuis plusieurs mois. Il existerait près d'une centaine de gangs dans la capitale haïtienne, et nombre d'entre eux bénéficient d'aides financières tantôt des autorités, tantôt de partis d'opposition ou d'individus du secteur privé.
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