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Langoustine et cannelloni de chou © GP Civet de poulpe © GP On ajoute ce morceau de bravoure languedocien qu'est le civet de poulpe iodé en longue cuisson au pinot noir, ragoût de racines ou ce met de seigneur que constitue le saint-pierre de petit bateau contisé aux truffes, gratin de bucatini creux au riesling et légumes en cocotte. Là dessus les meilleurs vins d'Alsace (riesling clos Saint-Hune de Trimbach à Ribeauvillé ou riesling Pfingstberg de Zusslin à Orschwhir, pinor noir V de Muré à Rouffach) et d'aillleurs (Grange des Pères en rouge ou blanc à Aniane dans l'Hérault) accompagnent ces plats de rêve avec brio. Saint-pierre contisé aux truffes et bucatini © GP Bullinade de poisson et coquillages © GP Jolis desserts, comme la déclinaison sur l'agrume de Bachès au poivre Timut, la poire émincée reconstituée fourrée cuit cru, caramel, cumin et mendiant sur une Bourdaloue amande et passion ou encore les pommes Tatin à la vanille de Tahiti avec sorbet à la bière juste après les fromages des Lohro.

7 Rue Du Vieux Marché Aux Poissons 67000 Strasbourg France

), « Place du Marché-aux-Poissons », in Dictionnaire historique des rues de Strasbourg, Le Verger, Barr, 2012 (nouvelle éd. révisée), p. 59-60 ( ISBN 9782845741393) ↑ « Marché aux Poissons (place du): Krautmarckt », Maisons de Strasbourg. Étude historique sur les maisons de Strasbourg entre le XVI e et le XX e siècle [1] ↑ (de) Das alte Strassburg vom 13. ÂME A TABLE / Restaurant Bistronomique de quartier / Strasbourg. Jahrhundert bis zum Jahre 1870: Geschichtliche Topographie nach den Urkunden und Chronike, Heitz, Strasbourg, 1890, p. 154 ↑ « L'alsacien a droit de rue à Strasbourg », Libération, 31 mars 1995, [ lire en ligne] ↑ a b et c Strasbourg au XVIII e siècle [2] ↑ « Maison au 2, place du Marché aux Poissons à Strasbourg », notice n o PA00085137, base Mérimée, ministère français de la Culture ↑ a et b Roland Recht, Jean-Pierre Klein et Georges Foessel (dir. ), « Place du Marché-aux-Poissons », in Connaître Strasbourg: cathédrales, musées, églises, monuments, palais et maisons, places et rues, Alsatia, 1998 (nouvelle édition remaniée), p. 63 ( ISBN 2-7032-0207-5) ↑ a et b Brigitte Parent, « Les mascarons de Strasbourg » [3] ↑ François Lotz, Artistes peintres d'Alsace vivant et œuvrant à la date du 1er janvier 1982, Printek, Kaysersberg, 1985, p. 134 Voir aussi [ modifier | modifier le code] Bibliographie [ modifier | modifier le code] Élisabeth Loeb-Darcagne, Sept siècles de façades à Strasbourg, I.

L'immeuble a été reconstruit, probablement dans la première moitié du XVIII e siècle. Les encadrements et moulurations des fenêtres du premier étage témoignent de survivances Renaissance, auxquelles se sont ajoutées quelques innovations, telles que les fenêtres cintrées du second étage et le toit à la Mansart [ 6]. L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1935 [ 7]. 7 rue du vieux marché aux poissons 67000 strasbourg france. n o 3: Ancienne maison d'artisan, elle a probablement été reconstruite au XVIII e siècle, mais conserve des réminiscences de la Renaissance, tel l'encorbellement supporté par une console ornée d'un masque dans un décor végétal, à l'angle de la rue du Dévidoir [ 6]. n o 4: La maison dite du négociant Zollikofer présente deux façades assez différentes l'une donnant sur la place, l'autre, plus prestigieuse, sur la rivière. En 1747, Jacques Christophe Zollikofer, un riche négociant, achète une maison donnant sur la place et dont le jardin donne sur l'Ill. En 1756, son fils Simon, également négociant, construit sa propre maison sur le jardin de son père et, à la mort de celui-ci en 1774, réunit les deux propriétés.

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