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C'est l'été, de jeunes garçons, des enfants, font le tour des alignements de Carnac en racontant aux touristes le mystère des pierres levées. Bien sûr, ils ont appris cela par cœur, mais leur voix monocorde et chantante garde le charme secret du rêve éveillé, comme s'ils y croyaient, comme s'ils y étaient. Le même charme que celui des petites filles qui vendent les colliers de coquillages au pied du phare d'Eckmùhl, ou qui disent devant les rochers de Saint-Guénolé, la triste histoire d'un préfet ou d'un sous-préfet emporté par une lame de fond avec sa petite famille, un jour de grande marée. La Bretagne, la poésie c'est le même pays, celui de Sévy Valner qui ressemble à ces enfants. Poésie c est l eté 2012. Est-il poète simplement parce qu'il est jeune ou surtout parce qu'il est Breton? Sans l'avoir entendue il a déjà répondu à la question. « Il suffit peut-être de le demander à la nuit, quand elle se drape d'un linceul vert-de-gris et parle à travers l'oubli. »

Poésie C Est L Eté 2012

souffle un petit vent léger et Vu sur c'est l'été. trois petit moustiques. un sur le nez. au bout du pied! Poésie c est l été c. trois petit boutons. on poussé: un sur le front. Vu sur #eanf# Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. Vous consentez à nos cookies si vous continuez à utiliser notre site Web. Ok Configurer vos cookies

Et l'enfant répondit, pâmée Sous la fourmillante caresse De sa pantelante maîtresse: « Je me meurs, ô ma bien-aimée! « Je me meurs: ta gorge enflammée Et lourde me soûle et m'oppresse; Ta forte chair d'où sort l'ivresse Est étrangement parfumée; « Elle a, ta chair, le charme sombre Des maturités estivales, — Elle en a l'ambre, elle en a l'ombre; « Ta voix tonne dans les rafales, Et ta chevelure sanglante Fuit brusquement dans la nuit lente. » Paul Verlaine

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