Exposé sur le thème du Colisée à Rome Le colisée est un amphithéâtre situé dans le centre de la ville de Rome, entre « l'Esquilin » et « le Cælius », le plus grand jamais construit dans l'Empire romain. Il est l'une des plus grandes œuvres de l'architecture et de l'ingénierie romaines. L'article de ce blog intitulé « Exposé sur le thème du Colisée à Rome » a changé de place. Cliquez ici pour le lire. Étiquettes: arène, chars, combats, lion, poisson, scène, spectacle, tuerie This entry was posted on mai 3, 2010 at 4:50 and is filed under Antiquité, Archéologie, architecture, Histoire, monument. You can follow any responses to this entry through the RSS 2. 0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.
Construit dès le premier siècle, le Colisée de Rome pouvait accueillir jusqu'à 75 000 personnes. C'est dans cet immense amphithéâtre que se déroulaient les combats des gladiateurs, les courses de chevaux, mais aussi les exécutions publiques. > Colisée à Rome: La grandeur de l'Empire Le Colisée se trouve au sud-est du centre historique de la capitale italienne dans le quartier antique de Rome à proximité du Forum romain et des collines du Palatin et du Capitole. Colisée à Rome: Un bâtiment… colossal En l'an 70, l'empereur Vespasien fait construire un imposant amphithéâtre à l'emplacement du palais de Néron. Titus inaugure le Colisée en l'an 80 au cours de fêtes grandioses. Le nom du Colisée provient d'un terme grec, kolossos, qui désigne une grande statue. Le chef d'oeuvre (ou pas) en bronze aujourd'hui disparu fût édifié du vivant de Néron et déplacé vers 120 de la Domus Aurea vers l'amphitéâtre. Il fallut 24 éléphants pour transporter le colosse de 30 mètres de haut, presque autant que la statue de la liberté.
Ils accédaient à leurs places par des vomitoria (singulier: vomitorium), qui s'ouvraient sur les gradins. Dès la fin des jeux ou en cas d'urgence, l'évacuation ne prenait que quelques minutes. Les Jeux Le Colisée correspondait à un gigantesque stade de notre époque, mais les spectacles préférés des Romains étaient les jeux du cirque (ludi circenses), jeux qui furent certainement inventés vers la fin de la République dans le but d'exciter et d'alimenter en eux l'esprit guerrier qui les rendait maîtres du monde. C'est ce qui donna naissance à la profession des gladiateurs, qui étaient entraînés au combat en sachant que le vaincu serait tué par le vainqueur, tandis que des bêtes féroces de tous genres accroissaient l'horreur du spectacle. Dion Cassius rapporte que neuf mille bêtes sauvages furent tuées au cours des cent jours de fêtes qui furent données pour l'inauguration de amphithéatre. Une fois terminée la chasse aux animaux, l'arène était rapidement remplie d'eau pour le déroulement de batailles navales.
Les Romains avaient un système d'entrées et d'escaliers numérotés similaire à celui des stades modernes. Cela permettait d'entrer et de sortir rapidement. Les sièges sont attribués en fonction de la classe sociale. Plus on est proche de l'arène centrale, plus le rang dans la société est élevé. L'empereur et les vestales occupaient des loges dans les points centraux les plus étroits du stade. Alors que les sénateurs étaient assis au même niveau aux extrémités. Ensuite, il y avait les hommes nobles et les gentilshommes, puis les citoyens riches. Et les derniers étaient les roturiers les plus pauvres. Arène L'arène avait un sol en bois et était recouverte de sable. Sous le sol de sable se trouvait l'hypogée. Il s'agissait d'un système ingénieux de tunnels et de chambres pour les esclaves, les gladiateurs, les animaux sauvages, les palans et les poulies. Plusieurs tunnels souterrains reliaient l'arène aux écuries et aux casernes des gladiateurs. L'empereur avait également son propre tunnel privé pour entrer dans l'arène.
Les enfants veulent sauver le monde. Un message fort, délivré par le film signé Gilles de Maistre. C'est le documentaire de Gilles de Maistre Demain est à nous que les jeunes du Conseil municipal des enfants (CMJE) et les jeunes cinéphiles de Saint-Estève ont choisi de présenter lors de la séance Ciné-Estève junior au théâtre de l'Étang. Des jeunes particulièrement investis dans leur mission et très à l'aise dans la présentation et leur analyse, aidés en cela par l'animatrice Marion Belkhiri du Point information jeunesse (PIJ) et des membres des Rendez-vous de Saint-Estève. Avec Demain est à nous, Gilles de Maistre signe un film aussi lumineux que sérieux sur la volonté des enfants de sauver le monde. Ce sont des enfants engagés et forts de leur conviction issus des quatre coins de la planète qui ont été découverts. Duclimat à la lutte contre le travail des enfants José Adolfo, 12 ans, du Pérou a reçu en 1918 à Stockholm le prix international pour le climat. Il a créé, dans le but de protéger l'environnement, une banque coopérative permettant aux enfants de son quartier d'échanger des déchets recyclables contre de l'argent, puis entre autres actions, une cantine pour les enfants pauvres.
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