"Parfois nous confondons vouloir être seuls avec la nécessité d'être avec la bonne personne" (Francesc Miralles) Le fait d' être en couple se base sur le respect mutuel, offre de nombreuses satisfactions, produit du bien-être et peut se révéler une aide précieuse. Le développement personnel est partagé et chacun acquiert un apprentissage unique et merveilleux. Que se passe t-il si quelqu'un n'a pas de partenaire ou ne souhaite pas en avoir? "Les personnes qui vivent des relations satisfaisantes et stables sont des être équilibrés. Ils ne recherchent pas quelqu'un qui "bouche un trou". Elles reconnaissent leur propre valeur". (Andrew Matthews) On parle ici d'un point de vue et d'un choix très personnel, selon lequel de nombreuses personnes ont d'autres priorités dans la vie que d'avoir un(e) partenaire, et c'est tout à fait respectable. Pour ces personnes avoir un(e) partenaire peut être un conflit avec le style de vie qu'elles souhaitent suivre, et c'est donc pour cela qu'elle ne souhaite pas de vie de couple.
Chez lui? Chez elle? Ils négocient sans arrêt. Une vie de famille, deux appartements Clara et Christophe, mariés et parents de trois enfants, ne vivent pas ensemble. Elle, 41 ans, lui, 37 ans, sont ensemble depuis huit ans. "Pas avec toi, pas sans toi. C'est ce qui résume le mieux notre couple. Avec Christophe, nous sommes liés par l'essentiel. Je ne vois pas avec qui je pourrais partager une telle complicité, une telle connivence", débute Clara. Toutefois, quand ils sont amenés à vivre sous le même toit, c'est le clash permanent. "On peut sortir les armes dès le petit-déjeuner, à propos de tout et de rien. Peut-être que l'on se ressemble trop", continue Christophe. Ils ont essayé de se séparer, mais ils ne peuvent pas s'y résoudre non plus. Mais pour ce qui est de vivre sous le même toit, c'est mission impossible. "Je ne supporte pas ses coups de gueule ni ses petites maniaqueries, ni ses leçons d'éducation des enfants, avec cette façon, très nouveau père parfait, de me culpabiliser en permanence et d'appuyer là où ça fait mal.
Entre parenthèse, elle comme moi n'avons eu aucune relation depuis la dernière fois qu'on s'était vu. Trois semaines après s'être vu, je vais la voir et comme à mes espérances, cela se passe bien. Cependant la suite reste moins glorieuse. Je sais ce qui s'est passé dans ma tête, j'ai arrêté notre relation et d'une manière on ne peut plus brutale. Je détestais l'idée d'être en couple, je trouvais cela ridicule, horrible, nulle, tous les mots péjoratifs me viennent à l'esprit en ce moment même. Ma rupture était tellement brutale qu'elle est partie en dépression pendant 6 mois. Mais ce qui est encore plus étrange, c'est qu'en arrêtant ma relation, je savais que j'allais moi aussi être malheureux. Et le pire, c'est que je l'aimais (je déteste dire ça). Après cet évènement, nous avons un peu parlé, jusqu'à ce qu'elle refuse de me parler encore, d'avoir de mes nouvelles car elle voulait m'oublier. Une démarche dure pour moi mais que je comprend tout à fait. Suite à cela suivirent un an et demi de souffrance.
IL/ELLE NE VEUT PAS ÊTRE EN COUPLE: POURQUOI VOUS OBSTINER? La dépendance affective (manque de confiance et d'estime) brouille le radar des plus grands génies: elle vous fait perdre votre sens commun et vous envoie dans la mauvaise direction. Et la mauvaise direction, c'est la dépendance émotive: ce n'est pas vous qui choisissez la personne qui vous convient, c'est votre névrose qui sélectionne celui ou celle qui pourra la nourrir. Sorte d'alien qui vit en dedans de vous, tapi dans le vide que vous ressentez à l'intérieur, ce besoin d'être en relation vous met dans des situations souffrantes. La preuve: comment pouvez-vous croire qu'une personne qui affirme ne pas vouloir être en relation tombera amoureuse de vous parce que vous allez lui tordre le bras ou la névrose jusqu'à ce qu'elle cède? Pourquoi vous obstiner quand on vous donne pourtant l'heure juste? En déséquilibre affectif, la solitude est un gouffre immense où il fait froid et nuit tout le temps. Vous êtes prêt à n'importe quoi plutôt que vous enfoncer dans ce désespoir alimenté depuis votre plus tendre enfance par le rejet et l'abandon et qui vous ronge de plus en plus.
Je reste à votre disposition et à votre écoute, Christophe Thérapeute de couple - Sexothérapeute Rendez-vous en ligne uniquement pour plus d'intimité par téléphone, visioconférence ou mail à votre convenance. Christophe Nieaux Psy sur Melun 1170 937 Il faut être deux pour créer une relation à deux, par contre pour stopper la relation une seule personne suffit. De fait si l'un des deux part, la relation s'arrête. Je lis à la fois la volonté de votre partenaire d'arrêter la relation et à la fois votre volonté de "sauver votre couple". Vous ne pourrez rien sauver surtout s'il ne s'agit pas de vous, ici il s'agit de deux personnes et vous êtes seule à vouloir agir, c'est perdu d'avance. Vous dites que vous écoutez tous ses besoins, vous en écoutez sûrement une bonne partie mais vous n'écoutez pas les besoins de liberté, d'espace et d'indépendance. La seule chose que vous pouvez faire c'est accueillir vos ressentis et vos émotions. Regardez à l'intérieur de vous ce qui se passe, êtes-vous triste?
Évidemment, ceci est inutile. Si vous êtes de ces personnes, vous pourrez passer un premier rendez-vous incroyable, voire entamer une relation de couple, mais viendra un moment où vous ne pourrez plus dissimuler votre véritable personnalité. Par exemple, vous ne pourrez pas toute votre vie feindre un intérêt pour le football si vous n'aimez pas cela, tout comme vous ne pourrez pas feindre la sérénité si vous êtes en réalité très jaloux·se. Vous mettez ainsi en péril votre relation, risquez de faire du mal, à vous, à l'autre personne, et de faire perdre du temps à tous les deux. 3- Travaillez sur vos difficultés Il est possible de travailler sur nos défauts ou caractéristiques qui nous déplaisent grâce au développement personnel. Vous pouvez le faire par vous-même ou en travaillant avec un professionnel. Si vous n'aimez pas votre propension à la jalousie, travaillez là-dessus et discutez-en avec des personnes qui vous connaissent bien. Si vous avez une faible estime de vous-même, valorisez-vous et ce que vous méritez de manière honnête et sans vous sanctionner.
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