Qui sont ces « ils »? Le contexte du passage montre sans ambiguïté que ce sont les « douze » ( Matthieu 10: 1). Or, si on suit les interprétations contemporaines, il faudrait conclure que Jésus s'est trompé, car il est notoire que cela fait bien longtemps que les disciples ne sont plus là pour faire le tour des villes d'Israël. La fin est proche En plus des déclarations de Jésus, l'affirmation de la proximité de la fin des temps est constamment répétée par les apôtres et les auteurs du Nouveau Testament: Paul: « Que votre douceur soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche. » Philippiens 4:5 Jacques: « Vous aussi, soyez patients, affermissez vos coeurs, car l'avènement du Seigneur est proche. » Jacques 5:8 Pierre: « La fin de toutes choses est proche. Soyez donc sages et sobres, pour vaquer à la prière. » 1 Pierre 4:7 L'auteur de l'Epître aux Hébreux: « Après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé jadis aux Pères par les prophètes, Dieu, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par un Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par qui aussi il a fait les éons.
Réjouissez-vous avec moi, car j'ai trouvé ma brebis, celle qui était perdue… Réjouissez-vous avec moi, car j'ai trouvé la drachme que j'avais perdue… Réjouissons-nous, car mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie; il était perdu et il est retrouvé. Luc 15. 6, 9, 23, 24 Les trois paraboles de Luc 15 montrent l'ardent désir de Dieu – Père, Fils et Saint Esprit – de sauver l'humanité perdue. Dans la parabole de la brebis perdue, nous voyons l'œuvre du Fils; dans celle de la drachme perdue, nous avons l'œuvre du Saint Esprit; dans la parabole du fils prodigue, nous trouvons l'affection du Père pour le fils errant revenu à la maison. La parabole de la brebis perdue nous présente l'activité de Jésus en tant que Sauveur. Son merveilleux chemin vers nous l'a amené à descendre sur la terre pour nous chercher, comme le berger a trouvé la brebis perdue et l'a ramenée chez lui. Il a dû beaucoup souffrir pour trouver sa brebis, mais il se réjouit du résultat si heureux de ses souffrances.
12). b. L'athlète: "J'ai achevé la course". La piste du stade avait la longueur de la course olympique: 600 pieds grecs (1 8ème d'un mile romain, ou 185 mètres). En type, elle représente toute la course chrétienne: le point de départ, c'est la croix, et le but, c'est gagner Christ. Elle devait être courue avec patience et avec discipline. Paul insiste: "Courez de manière à le remporter (le prix de la course)/" (voir 1 Corinthiens 9. 24-27). c. L'ouvrier: "J'ai gardé la foi". La foi incarne tout ce qui parle de Christ. Comment Paul avait-il gardé les éléments de la foi? Non pas en les enveloppant dans un linge (voir Luc 19. 20), ou en les enfouissant dans le sol (voir Matthieu 25. 25), mais en les employant pour l'édification des croyants. Il a prêché ces vérités de la foi sans relâche et sans en avoir honte. "Je n'ai mis aucune réserve à vous annoncer tout le dessein de Dieu", dit-il aux anciens d'Éphèse (Actes 20. 27). Paul n'avait pas considéré sa vie comme précieuse à lui-même, pourvu qu'il achève sa course et le service qu'il avait reçu du Seigneur (v. 24).
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