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On se croirait en haut d'un phare. Dont nous sommes aujourd'hui un peu les gardiens. Soizic QUERO. Pratique. La maison du Phare, 93, rue de la tour, à Plérin. Entre 80 et 90 € pour la nuit (8 € pour le petit-déjeuner). Tél. 02 96 33 34 65 ou 06 84 81 54 41 ou Site Internet (opérationnel à la fin de la semaine): Ouest-France

La Maison Du Phare Plerin Film

9. 7 / 10 ▼ Jean-Michel Montfermeil Séjour en juillet 2021 " EXCEPTIONNEL " Un grand merci à Rose pour son accueil, sa gentillesse, sa disponibilitée, son sourire. Decoration très romantique que je recommande à 200%. Vue imprenable sur le phare éclairé la nuit. Un séjour magique inoubliable. UN GRAND MERCI À ROSE. 10. 0 / 10 ▼ Chris Conflans-Sainte-Honorine Séjour en avril 2021 " Superbe " Très bon séjour, merci a Rose pour son accueil et gentillesse, la chambre jolie, spacieuse avec salle de bains privative et WC à part, dîner digne d 'un restaurant et petit -déjeuner très bon et copieux, à refaire. Réponse du propriétaire: bonjour à vous deux, un réel plaisir d'avoir partagé des moments de vie.... Prenez soin de vous Rose 9. 6 / 10 ▼ Marie Essonne Séjour en mars 2021 " Hôte très sympathique " Rose est une personne très agréable aux petits soins. La maison est très originale. Rose cuisine divinement bien Réponse du propriétaire: Merci à vous deux j'adore cuisiner et recevoir, un réel plaisir de vous chouchouter par ces temps difficiles...... où je préfère le réel au virtuel.

Elle est aujourd'hui maison d'habitation. À sa naissance (les avis divergent encore: à la même époque que le phare pour les uns, en 1894 pour les autres; mais avec toujours un M. Gorgeu comme constructeur), elle était composée, de droite à gauche, d'un petit bâtiment « décharge », d'un magasin aux huiles, d'un bureau, d'une cuisine et dans sa partie avec combles, d'une chambre de gardien bénéficiant, dans la courette arrière, d'un lieu d'aisance. Des gardiennes plutôt que des gardiens Gardien, ou devrait-on dire gardienne, même si c'était plutôt un poste réservé aux anciens marins. Car en cherchant bien, on ne retrouve que quatre noms: Marie Guillou, en 1896; Marie Le Bleiz, en 1906; Mme Boutolo et sa remplaçante auxiliaire Denise Guégan, dans la deuxième moitié du XXe siècle. Tout près de l'ancienne maison des Phares et balises, l'entrée d'une galerie (déjà close par sécurité) a été récemment retravaillée de manière à en faire un abri pour les chauve-souris. C'est d'ailleurs bien une femme que l'on voit tirant sur la drisse du mât à pavillon (alors situé sur la jetée), un jour de tempête entre 1900 et 1910, sur une carte postale ancienne.

Jolie Fille Toute Nue