Dans ce préquel publié après le manga original, les bases de l'histoire de Death Note sont posées. De plus, on peut lire ce livre même sans connaître le manga: l'intrigue se suffit à elle-même. Enfin, comme le démontre déjà le résumé, L choisit une femme pour l'aider dans sa tâche, envoyant promener le sexisme. Cet aspect me plait énormément…. D'autant plus que Naomi Misora est intelligente et très compétente, c'est un plaisir de la suivre. Série comme death note du. Je ne peux pas vraiment en dire plus au risque de dévoiler toute l'histoire, ce qui vous gâcherait la lecture. Et vous, quelle est votre opinion de ce livre?
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rien a dire mon anime preferé, tout est parfais dans cette adaptation de ce mangas culte au japon (et j'espere bientot en france) si j'ai un conseil a vous donner regarder le imediatement
Attention, série phénomène! Death Note a tout en sa faveur pour devenir une référence dans le monde de l'anime japonais: Un scénario fouillé, puissant et extrêmement porteur, une richesse dans le profil des personnages, des graphismes magnifiques, des rebondissements en pagailles.
Série Comme Death Note La
Si la série de Kyle Killen et Steven Kane est encore loin de développer les enjeux les plus énormes de son monde de SF (à commencer par la puissance de l'Halo, capable d'annihiler des civilisations entières), son coup d'essai se montre obsédé le long de ses neuf épisodes par la notion d'humanité, alors même que cette dernière est au bord du gouffre, réduite à son insignifiance dans la grande échelle du cosmos. Là réside toute la contradiction des jeux Halo: les Spartans, ces soldats génétiquement et technologiquement modifiés, se voient dénués des caractéristiques sensibles de l'être humain pour s'assurer d'être des machines à tuer inarrêtables. En bref, leur nature les ostracise de l'espèce qu'ils sont pourtant censés protéger. Série comme death note la. Prêt pour le T-Bag
Comme on l'a déjà évoqué dans notre retour enthousiaste des premiers épisodes d' Halo, cette démarche reflète une véritable réflexion d'adaptation autour de la force surhumaine de ses héros, et de la jouissance du gameplay des jeux. Le corps du Masterchief est pensé à la base comme une coquille vide fantasmatique, un modèle de badasserie mutique toujours focalisé sur son objectif.
Au-delà d'iconiser proprement ses personnages, la séquence repose sur des rebondissements permanents, pour mieux mettre en valeur la vivacité d'esprit d'un Masterchief qui balance son pistolet déchargé à la figure de ses ennemis avant de récupérer une autre arme sur un cadavre. Face à ce pivot, on se sent prêt à repartir de plus belle, en se rendant compte trop tard que la série a mis la charrue avant les bœufs, afin d'essayer de donner de la consistance à sa mythologie pour planifier sa deuxième saison. LE moment cool de l'épisode 5
De l'art de péter son joystick
Cela amène malheureusement à la grosse douche froide que constitue la seconde moitié des neuf épisodes, qui traînent la patte au point de donner un segment entier aux mésaventures de Kwan Ha (Yerin Ha), seule survivante de l'assaut Covenant durant l'introduction de la série, et fille d'un chef révolutionnaire de la planète Madrigal. Série comme death note episode. En voulant nous éloigner temporairement du Masterchief pour raconter autre chose, la série ne fait que révéler son incapacité à mêler entre eux ses divers pans d'histoire, alors même que son monde est censé paraître gigantesque.