On a ce droit d'aller mal. Il faut arrêter de croire que l'on est tous des éternels optimistes et qu'il est interdit de ressentir des émotions négatives. Si, on a le droit. Il faut prendre le dessus par la suite. Une chose à comprendre: si on a envie de pleurer, on laisse couler ses larmes. On souhaite ne voir personne? On reste quelques jours chez soi. Personne a le droit de nous juger en disant qu'accepter ces situations c'est être faible. Au contraire, je dirais même. Il ne faut pas hésiter à le dire quand rien ne va. Rien ne va dans ma vie Alors on fait comment? On en a discuté ensemble sur les réseaux sociaux et je l'ai dit, écrit en story: ça ne va pas. C'est la fin de l'année, la fatigue s'accumule, le travail est intense, les relations ne sont pas forcément aux beaux fixes, la santé est fragile et les insomnies bien trop présentes. Au fond de moi, je sais que tout va s'arranger. Mais l'unique chose dont j'ai envie, c'est couper mon téléphone, partir seule loin et dormir. Oui faire une bonne nuit sans stress, sans cauchemar ni paranoia.
En attendant, j'accepte cette situation. Tu sais, je pensais qu'être adulte signifiait être heureux à longueur de temps. J'admirais « les grands » parce que je les voyais toujours sourire, ça avait l'air si simple pour eux. J'ai l'impression ou alors je m'étais faite à cette idée qu'être adulte c'était aimer son travail, ses collègues, avoir un bon salaire, voyager sans se poser de questions si on avait assez d'économie etc. Le gros cliché avec lequel j'ai avancé dans la vie. La réalité est quelque peu différente. On fait des choix, on subit parfois certaines situations un moment, jusqu'à débloquer une situation. On prête aux mots qu'on utilise, de peur de froisser quelqu'un. On prend sur soi, en travaillant avec des personnes que l'on n'apprécie pas forcément. C'est ça la vraie vie, et quand rien ne va, je me demande toujours quel regard la petite fille que j'étais, a sur ce moment de vie. La fin d'année Je ne sais pas si tu l'as remarqué toi aussi, mais tout le monde est à cran. L'impatience, le stress et l'agressivité sont au rendez-vous ces derniers jours.
Bonjour, a tous, Cela fait bien 5 ans, que je n'arrive plus à être heureuse, depuis que j'ai perdu deux de mes trois grand parents qui étaient encore en vie, en moins d'un an, je n'arrive pas à redevenir comme avant, joyeuse... J'ai découvert, par moi-même, que ma mère trompait mon père, en ayant vu un message, sur son téléphone, je n'ai rien dit à mon père, car je sentais que je ne devais pas le faire, mais ils ont quand même divorcé. Je suis donc, depuis 5 ans, transporter, entre la vie chez un père toxique, qui ne fait que me dénigrer, et une mère qui n'a aucune confiance en elle, à cause en partie à lui. Je me sens si seule, je n'ai aucune personnes à qui me confier, pas de frère ni de sœurs, et j'ai toujours le talent, de m'éloigner des rares amitiés, que j'avais, au collège. Mon père, est je pense, un parent toxique, quand je ne vais pas dans son sens, que je ne lui obéis pas, il me traite de "grosse vache"... Mais je reste aussi, chez lui car il me fait pitié, il est tout seul, toujours et veux pas devenir comme lui, aigrie de la vie.
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