Les femmes quant à elles, représentent près de 30% des patients greffés au Maroc. Evidemment les tarifs pratiqués au Maroc, 30 à 40% moins chers qu'en Europe, pour le même nombre de cheveux implantés, expliquent aussi le choix du Maroc pour la greffe des cheveux. source:
Il est aussi le concepteur de plusieurs anti-chutes connus pour leur efficacité et distribués en pharmacie en France, et dans de nombreux pays dont le Maroc. Gil Mennetrey a sélectionné 5 ou 6 chirurgiens marocains parmi les plus réputés du royaume et il les a accueillis en France et en Espagne, pour les former aux dernières techniques de microtransplantation folliculaire. Puis une dizaine d'infirmières et d'assistantes médicales de haut niveau ont été recrutées, et formées par ses propres assistantes des cliniques de Paris et Barcelone. Après deux ans de formation assidue, la qualité des greffes réalisées au Maroc est désormais égale à celle des meilleures cliniques européennes. Aujourd'hui L' équipe d'assistantes médicales basée à Marrakech est composée de 8 techniciennes équipées chacune d'un microscope binoculaire stéréoscopique. Elles se déplacent régulièrement à Casablanca et à Rabat pour assister les chirurgiens marocains qualifiés lors de méga séances qui vont jusqu'à 6500 cheveux environ réalisées en 4 ou 5 heures seulement.
«Cela prend un peu plus de temps que d'autres méthodes, mais donnera un meilleur résultat. Vous n'aurez pas de larges cicatrices à l'arrière du crâne et les micro-perforations guérissent rapidement par elles-mêmes», se réjouit le Docteur Mohamed Alami. Un acte médical La dernière, la FUE sans rasage, est encore plus développée, ne nécessite aucun rasage et permet de réimplanter des cheveux longs. Une seule séance de travail est nécessaire sauf pour les grandes zones pour lesquelles sont pratiquées des méga-séances ne dépassant pas une durée de 6h, sous anesthésie locale. 99% des cas greffés sont une réussite. Le résultat d'une greffe capillaire est obtenu au bout de 12 mois (parfois 7 mois) et la densification finale au bout de 18 mois. Tout au long de cette période, le patient nécessite un suivi régulier par son médecin, «chose qui ne se fait que trop rarement dans d'autres pays, notamment en Turquie», met en garde le médecin. Au Maroc, ce sont des médecins qui pratiquent cet acte répondant aux obligations internationales.
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