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Que de fois avons-nous l'impression devant certains êtres - beaucoup d'êtres - qu'ils ne sont plus tout à fait vivants. Certes, ils bougent, ils parlent, ils désirent, tout "cela" tourne, s'accomplit comme si c'était des ombres, des mannequins réalisant un mécanisme précis. Certes, ils naissent, font carrière, amassent de l'argent, puis ils meurent. Entrons dans la vie spirituelle et nous prendrons de suite conscience de ce quelque chose de mortel. Nous constaterons soudain que notre âme est appesantie, qu'elle dort, enchaînée à un rêve. Homelie sur la parabole du bon samaritan 2. Combien il est difficile, alors, de se redresser, d'abandonner cet état demi-mort et demi-vivant. Ni morte, ni vivante, voici la situation de l'humanité après le péché, tombée entre les mains des brigands diaboliques. Les lévites et les prêtres voient le blessé et passent outre. L'ancienne loi divine, les métaphysiques et les religions d'avant le Christ voyant l'humanité demi-morte passent outre, car il aurait fallu, pour soigner un tel dénuement, S'abaisser.

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LE BON SAMARITAIN Sens moral, spirituel et sotériologique Epître: 2 Cor 3, 4-9 - Evangile: Luc 10, 23-37 Mgr Jean, évêque de Saint-Denis Au nom du Père, du Fils et du Saint‑Esprit. Amen: La signification immédiate de cette parabole du Christ est difficile peut-être à réaliser, mais aisée à comprendre. Qui est notre prochain? Ce n'est pas notre frère par le sang, les idées ou la confession, par la nationalité ou d'autres liens; il peut être étranger à nous sous tous les rapports, car le Samaritain était dans la vie normale séparé des Juifs, sa vie coupée de la leur. Mon prochain n'est pas celui qui m'est bénéfique, mais à qui je fais du bien. Les chrétiens ont donc pour frère: l'humanité. Elle est notre prochain. Non point qu'elle nous aime! l'Église a été persécutée, les croyants sont souvent méprisés dans leur milieu. Non point qu'elle nous comprenne! Homelie sur la parabole du bon samaritan translation. Chaque siècle déforme la doctrine du Christ, la haine de la religion fut forte et peut toujours augmenter... Certains pays, des sociétés entières s'efforcent de la détruire.

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Or ici cet homme qui est sensé avoir sa foi et l'amour de Dieu ne s'arrête pas. Pire il passe à bonne distance pour éviter tout contact avec le voyageur. Luc 10:32: « Un lévite de même arriva en ce lieu; il vit l'homme et passa à bonne distance. » Même réaction pour le Lévite. Les Lévites sont des hommes de la tribu de Lévi, ce sont des hommes de lois. Message de Père André sur l'Evangile de ce dimanche : la Parabole du Bon Samaritain | Eglise Orthodoxe Saint Nicolas le Thaumaturge. Ces 2 castes (lévites et sacrificateurs), étaient des hommes respectables. A cause de leur éducation ils connaissaient la loi de Dieu et l'enseignaient au peuple. Mais ils ne s'arrêtèrent pas pour aider nôtre voyageur. Conclusion, la loi seule a été incapable de sauver le voyageur. Luc 10:33: « Mais un Samaritain qui était en voyage arriva près de l'homme; il le vit et fut pris de pitié. » Il faut préciser tout d'abord que les Samaritains étaient à l'époque considérés par les juifs comme des hérétiques et que les relations entre les deux peuples n'étaient pas des meilleures (cf. l'histoire de la Samaritaine dans l'évangile selon St Jean chapitre 4).

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Jésus représente un homme qui descend de Jérusalem à Jéricho, qui est tombé victime de bandits et laissé à moitié mort sur le chemin. C'était sans doute un pèlerin, puisqu'il avait quitté Jérusalem. Cet homme nous fait penser à tous ceux qui aujourd'hui sont blessés par les circonstances de la vie: pensons aux réfugiés; aux peuples en guerre et soumis à la violence; aux victimes de la faim et de la pauvreté; aux victimes de la maladie. Tous ils méritent qu'on s'attarde près d'eux. Mais voilà que souvent on passe son chemin sans s'arrêter. Homélie - "Le Bon Samaritain...Toi aussi fais de | Séminaire de Québec. Parmi ceux qui passent sur ce chemin, Jésus présente deux extrêmes. D'abord ceux qu'on croyait prêts à aider l'homme, à savoir le prêtre et le lévite – qui avaient fini leur service au temple de Jérusalem et descendaient la route. Ils étaient sanctifiés: ils auraient pu faire quelque chose; mais ils passent sans s'arrêter. Ensuite arrive un ennemi, un Samaritain: celui-là, on pense qu'il ne va rien faire pour un pèlerin juif. Le judaïsme, ce n'est pas tout à fait sa religion.

Chers Frères et Sœurs, L'évangéliste Luc nous raconte (Luc 10, 25-37) que Jésus, au cours de sa montée vers Jérusalem, rencontrait beaucoup de monde. Aujourd'hui nous entendons qu'il rencontre un docteur de la Loi. Celui-ci pose à Jésus la question: « Que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle? Homélie 15e dimanche C – La parabole du Bon Samaritain, Abbaye Notre-Dame de la Paix – Diocèse de Liège – Diözese Lüttich. » C'est une question un peu intéressée: l'homme pense à son avenir; il pense à sa mort; il cherche sa sécurité. En ce sens, cet homme est proche de nous: chacun de nous se pose la question de son avenir, du sens de sa vie, de sa sécurité. Chacun de nous dans cette église, que ce soient les bénédictines qui prient ici tous les jours, que ce soient nous, qui participons à leur prière sans faire partie de leur communauté, chacun de nous est venu ce matin ici à cette eucharistie avec cette question au cœur: comment avoir part à la vie éternelle, à la vie en plénitude? Pour répondre à cette question, Jésus renvoie le légiste à ce qu'il connaît déjà, la loi de Dieu. En effet, comme dit le Deutéronome, – nous l'avons entendu dans la première lecture-, la loi de Dieu est inscrite au fond de nos cœurs.
Elle correspond à nos désirs les plus profonds. Alors le légiste résume la Loi de manière magistrale, comme il est écrit ailleurs dans le Deutéronome (Dt 6, 5): « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout cœur, de toute ton âme et de toute ta force » et il ajoute la phrase extraite du Lévitique (Lv 19, 18): « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». L'homme de Loi a donc répondu juste. Jésus lui dit: « Fais ainsi et tu auras la vie ». La vie en plénitude, c'est donc aimer Dieu et son prochain comme soi-même. La vie, c'est « aimer ». C'est aimer soi-même – aimer celui, celle qu'on est, aimer ce qu'on fait; c'est aimer Dieu – pas seulement « croire » en lui! ; et c'est aimer son prochain! Mais concrètement, qui est mon prochain? Homelie sur la parabole du bon samaritan youtube. Telle est la nouvelle question du docteur de la loi. C'est aussi notre question: qui aimer? On ne peut pas concrètement aimer tout le monde… Alors Jésus raconte une parabole, celle du Bon Samaritain. Elle se passe aussi sur la route, comme la conversation de Jésus avec le légiste.
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