Amortisseur bitube avec sMOTION L'amortisseur sMOTION est équipé d'une pompe électrique qui pompe l'huile depuis le cylindre de travail supérieur dans le cylindre inférieur et vice-versa. Cela affecte les forces actives. Une dérivation en amont de la pompe permet d'activer deux valves CDC à une fréquence de début de cinq hertz. De si hautes fréquences sont stimulées par exemple en roulant sur des couvercles d'égouts, des joints transversaux, des enduits superficiels ou du gravier. La vidéo montre comment le système et les amortisseurs fonctionnent. Mode de fonctionnement de sMOTION En bref: Avec sMOTION, ZF souhaite ajouter un système actif à son portefeuille de solutions d'amortissement. Ce système est idéal pour répondre aux divers besoins du client. Il assure le meilleur confort de conduite, la plus grande sécurité de conduite et la meilleure dynamique possibles. sMOTION constitue une contribution importante à une conduite hautement automatisée et autonome. Lorsque sMOTION entrera en production en série, ZF offrira non seulement des amortisseurs standards avec une courbe caractéristique définie et son système CDC semi-actif, mais également le nouveau système sMOTION actif.
Phase de compression/phase de détente Les amortisseurs bitubes possèdent deux cavités remplies d'huile: la cavité de travail, dans laquelle le piston et la tige de piston se déplacent, et la cavité de compensation. La cavité de compensation se situe entre le cylindre de travail et le tube de réservoir, et est remplie à 2/3 avec de l'huile et à 1/3 avec de l'air ou du gaz. Il en résulte que l'amortisseur bitube a une plus courte longueur d'installation que le modèle monotube équivalent. Les caractéristiques de la force d'amortissement de l'amortisseur bitube sont spécifiquement conçues pour chaque type de véhicule, en étant adaptées au poids de ce dernier, à la conception des essieux et aux ressorts de suspension. 1. Joint de tige de piston 3. Guidage de tige de piston 4. Cavité de compensation 6. Tube de protection 7. Tube de réservoir 8. Valve de piston 9. Cylindre de travail 10. Clapet de fond 11. Joint de suspension Phase de compression Les vibrations du véhicule compriment l'amortisseur, le clapet de fond déterminant l'amortissement.
sMOTION, qui se trouve actuellement encore en phase de prototype, complète maintenant ce portefeuille de produits par le haut en qualité de système actif. Systèmes d'amortisseurs polyvalents Les systèmes d'amortisseurs ZF varient en ce qui concerne leur complexité, donnant ainsi aux constructeurs automobiles la liberté d'équiper une même plateforme de véhicule avec un de ces système en fonction du modèle, du type de moteur ou de la configuration. Le choix du type d'amortisseur qui sera installé dépend également du type de conduite, à savoir par un conducteur ou en conduite autonome. Un châssis actif est important même pour des véhicules autonomes, car le conducteur ne regardera pas la route en permanence. À la lumière de ces éléments, sMOTION, qui devrait bientôt entrer en production à grande échelle, sera à l'origine d'un gain sensible en matière de confort, de sécurité et de dynamique de conduite. Amortisseur bitube standard La tige de piston de l'amortisseur bitube est fixée sur la caisse et son carter est fixé sur la fusée d'essieu.
Dans le tube extérieur, au-dessus de la couche d'huile, se trouve de l'air qui se mélange à l'huile ondulée. Dans les amortisseurs à gaz bitubes, l'azote est placé sous une légère surpression de 4 à 8 bars. Ce type d'amortisseurs permet à la voiture d'être mieux sur la route. Ainsi, ils réagissent plus rapidement aux irrégularités de la route et offrent un plus grand confort. Cependant, ils sont plus chers que la version à l'huile. Les inconvénients des amortisseurs bitubes sont l'usure accélérée et les propriétés d'amortissement des vibrations dues à l'huile moussante. Les avantages sont une conception compacte et un faible prix. Amortisseur monotube Christian Bourcier de Carbon, qui a breveté en 1953 un amortisseur monotube. Il est également connu sous le nom d'amortisseur haute pression. Dans cet amortisseur, il n'y a pas de tuyau extérieur, ce qui facilite le refroidissement de l'huile. De plus, le pétrole et le gaz sont séparés par un piston mobile supplémentaire, de sorte qu'il n'y a pas de moussage de l'huile.
La seconde vient de la dissipation d'énergie cinétique, qui dépend plutôt de la densité que de la viscosité, mais qui est elle aussi proportionnelle au carré de la vitesse du flux. On peut donc choisir de préférer le deuxième effet au premier pour réduire la sensibilité à la viscosité, donc à la température. Un amortisseur classique de véhicule de tourisme est conçu de manière à ce que la force en détente soit grosso modo le double de celle en compression, de manière à ralentir la "chute" de la roue lors du passage dans un nid-de-poule. Du fait de l'asymétrie de la courbe effort-vitesse entre la compression et la détente, les modèles utilisés sont bilinéaires, chaque domaine étant affecté d'une pente spécifique. Comme on l'a vu précédemment pour le ressort, l'effort à la roue est différent de l'effort à l'amortisseur, cet effet étant proportionnel au carré du ratio de mouvement. Le fonctionnement de l'amortisseur provoque un échauffement de l'huile, échauffement qui ne peut être suffisamment communiqué par transfert de chaleur à l'air environnant en usage intensif.
Conseil pratique pour ateliers Vérification régulière des amortisseurs Un véhicule sur sept circule avec au moins un amortisseur défectueux, ce qui constitue un risque important pour la sécurité. Le remplacement d'amortisseurs défectueux par un atelier spécialisé permettra aux véhicules des clients de rouler de nouveau en toute sécurité Voir la vidéo maintenant
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