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Le poème « Elle avait pris ce pli«, écrit en novembre 1846, évoque une scène intimiste liée au souvenir de Léopoldine. Le souvenir de Léopoldine est intimement lié à la poésie. Problématique Comment ce poème qui évoque le souvenir de Léopoldine s'apparente-t-il à une oraison funèbre? Annonce du plan (suivant le mouvement du texte): Ce poème évoque le souvenir de la jeune Léopoldine (I) et fait son portrait moral, l'assimilant à une muse poétique (II). La douceur du souvenir est toutefois rattrapée par la violence de la mort qui transforme ce poème en oraison funèbre (III). I – Le souvenir de Léopoldine A – La douceur de l'habitude (v. 1 à 7) Le poème « Elle avait pris ce pli » commence par l'évocation de souvenirs de l'enfance de Léopoldine. Le plus-que-parfait du premier vers (« avait pris ») donne immédiatement au souvenir un caractère lointain. Néanmoins, le poète retrouve la douceur de l'harmonie familiale à travers l'habitude comme le suggère le terme de « pli » ainsi que les imparfaits itératifs (« Je l'attendais », « elle entrait », « disait »).

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Elle avait pris ce pli, lecture linéaire, introduction Victor Hugo publie Les Contemplations en 1856 mais l'écriture des poèmes s'étend de 1830 à 1854. Le recueil est divisé en deux parties « Autrefois » et « Aujourd'hui » dont la transition se situe en 1843, date de la mort accidentelle par noyade de sa fille Léopoldine. Cet événement tragique marque durablement l'œuvre poétique de Victor Hugo et notamment le quatrième livre des Contemplations, « Pauca meae », entièrement consacré à la douleur du deuil. Le poème « Elle avait pris ce pli«, écrit en novembre 1846, évoque une scène intimiste liée au souvenir de Léopoldine. Le souvenir de Léopoldine est intimement lié à la poésie. Problématique Comment ce poème qui évoque le souvenir de Léopoldine s'apparente-t-il à une oraison funèbre? Annonce du plan (suivant le mouvement du texte): Ce poème évoque le souvenir de la jeune Léopoldine (I) et fait son portrait moral, l'assimilant à une muse poétique (II). La douceur du souvenir est toutefois rattrapée par la violence de la mort qui transforme ce poème en oraison funèbre (III).

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D'autre part, être auprès de sa fille représentait pour lui le bonheur absolu sans aucune limite. Le chiasme des vers 24 et 25 renforce la complicité totale entre ces deux personnes. Même si celui-ci est faussée par le mot « jamais » placé avant « gai », ce qui renvoie aux mots « morne » et « triste ». Pour conclure, on peut dire que Victor Hugo a écrit ce poème afin de recréer une scène intime de la vie avant la mort de Léopoldine et de la faire revivre à travers le pouvoir des mots. Ce poème lyrique est un hymne à la relation qu'il entretenait avec sa fille. Il exprime tout simplement la tristesse d'un père face à la mort d'un être qu'il a infiniment aimé. Elle reste, par delà la mort, son inspiratrice comme elle l'était de son vivant, et en son souvenir il écrit des vers « doux ». Tout y est bonne révisions a tous! _________________ " Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer " miko Profane Nombre de messages: 103 Localisation: In Klokachazia Date d'inscription: 21/11/2005 Sujet: Re: " Elle avait pris ce plis " explication de Ven 9 Juin à 15:53 Ceci peut effectivement nous etre utile... voir même très utile!!!

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Lecture analytique: « Elle avait pris ce pli », Victor Hugo, Les Contemplations. Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin1 De venir dans ma chambre un peu chaque matin; Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère; Elle entrait et disait: « Bonjour, mon petit père! » Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait, Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe. Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse, Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant, Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée, Et mainte page blanche entre ses mains froissée Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers. Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts, Et c'était un esprit avant d'être une femme. Son regard reflétait la clarté de son âme. Elle me consultait sur tout à tous moments. Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants, Passés à raisonner langue, histoire et grammaire, Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère Tout près, quelques amis causant au coin du feu!

En 1846, Juliette Drouet, sa maîtresse, perd une fille de vingt ans, Claire Pradier, morte de tuberculose. C'est en revenant du… On vit, on parle, on a le ciel et les nuagesSur la tête; on se plaît aux livres des vieux sages;On lit Virgile et Dante; on va joyeusementEn voiture publique à quelque endroit charmant, En riant aux éclats de l'auberge et du gîte;Le regard d'une femme en… Le poème de treize quatrains d'octosyllabes aux rimes croisées, qui ne porte pas de date dans lemanuscrit, a probablement été composé par Victor Hugo en octobre 1846. Lépoldine y paraît avec ses frères, avec toute sa famille. Le décor qui l'entoure nous la montre à Saint-Prix, près deMontmorency, où villégiaturait… La fille de Victor Hugo, Léopoldine, s'est noyée dans la Seine en 1843. Après cela, il écrit Les Contemplations, recueil de poèmes consacrés à sa évocation heureuse de Léopoldine au milieu du reste de la famille est d'abord assuré par des vers qui font ouverture (v. 1-10). L'évocation elle même… Ô souvenirs!
Prix Pommade Cochon