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Nizâr Qabbânî Marhaban mes ami(e)s مَرْحَباً أَصْدِقَائِي ، صَدِيقَاتِي J'espère que vous allez bien. Poesie arabe sur la femme pardon. Dans ce cours, je vous invite à découvrir et apprécier le beau poème du célèbre poète syrien Nizâr Qabbânî. Cette poésie d'amour porte le titre de: Oh Madame; يَا سَيِّدَتِي extraite de son recueil de poésies sous-titré: "Amour sans limites" "حُبْ بِلَا حُدُودْ" [hob bilâ hodôd] Voici le texte de ce beau poème arabe avec sa transcription phonétique et sa traduction en français. Vous pouvez aussi visionnez la vidéo de ce poème interprété par Yassine Jarram.

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Citation arabe; Les plus beaux proverbes arabes (1922) Le monde malgré sa forme attrayante est rempli de poison comme le corps d'un serpent. Citation arabe; Les contes, fables et sentences arabes (1788) La fortune ravit avec promptitude et violence ce qu'elle semblait nous donner avec plaisir et empressement. Citation arabe; Les proverbes du peuple arabe (1803)

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Cette œuvre remarquable a été préfacée par des auteurs arabes aussi notoires que l'écrivain soudanais Tayeb Saleh, le poète libanais Abbas Beydoun et l'écrivain marocain Mohamed Zafzaf. " La calligraphie coufique s'est pliée à la volonté de l'artiste qui, à son tour, a su en subir les contraintes. Yassar a pu pénétrer les profondeurs de l'âme du poète. Ce dernier lui inspira un travail pictural d'avant-garde. Toulon : Amour érotisme et poésie arabe | TV83. " Mohammed Zafzaf Au programme: Présentation du Portfolio « Chants de rubis » par Lamia Safieddine, chorégraphe libanaise, fille de l'artiste; Projection du film « Une passion écrite » de Dominique Delapierre; Lectures de quatrains en arabe, français et persan par l'écrivain Abdallah Naaman, le comédien Youri Saffiedine et le concertiste et compositeur iranien Athar Torabi; Accompagnement musical par Athar Torabi et le percussionniste Sina Tila Inscription à la newsletter Pour recevoir toute l'actualité de l'Institut du monde arabe sur les sujets qui vous intéressent Je m'inscris

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J'ai voulu l'aller voir, prendre en ma main sa main, N'a saisi qu'un peu d'ombre et d'image rebelle, Ce leurre de visite, au moins, m'a fait trouver Le bonheur des secrets, loin de toute apparence. Aussi bien, pour donner forme à ses espérances, Faut-il les confier aux pensées du poète. Toi dont l'œil, par magie, tient la mort toute prête, Sais-tu quel jugement attend le magicien? Chez toi, je l'ai bien vu, toute l'audace tient En ce sabre tranchant: un regard sans chaleur. Tu as fiché l'amour, en plein vol, dans mon cœur: Toucher ainsi l'oiseau qui vole, n'est-ce rien? » Vers de Ibn Hamdîs, le plus célèbre poète de la Sicile arabe, (447/1055 – 527/1133) « Une alcôve…, une dame en son lit visitée! Les plus beaux poèmes arabes - Envie de lecture. Au plus noir de la nuit, mon refuge quitté, J'arrive, plein d'amour, la serre sur mon cœur, Si fort que ses bijoux se cassent, j'en ai peur. Elle s'étonne en me voyant pâle, défait. « C'est de t'aimer », lui dis-je. Et elle: « Je le sais. » » Vers de Ibn al-Labbâna, fils de crémière qui connut la fortune avec sa poésie auprès d'Ibn'Abbâd, souverain de Séville, (mort en 507/1113) « Si ce nid de beauté pouvait frémir un peu De cet amour en moi pour les cœurs réunis!

Le corps va s'épuisant, en vêtements pâlis. J'en suis là, et pourtant jouis de sa présence: Si l'aimée s'en allait, qu'adviendrait-il de moi? Mais, au vrai, n'est-ce pas tout le mal de l'absence Qu'en sa belle maison je souffre, quand je vois Ce faon aux grands yeux noirs, cet astre dont l'éclat Monte du fond des nuits, cette lune, ô splendeur, Ce narcisse embaumant le jardin qui se noie Sous la rosée, ce bois précieux chargé d'odeurs? Parlant de moi, peut-être lui aura-t-on dit: « Cet homme, on le voit bien, n'est que pâleur, faiblesse. » Alors, elle a montré pour moi quelque tendresse Et, voulant tout cacher, à la fin s'est trahie Par ces mots: « Qu'as-tu donc? Est-ce une soif ardente, Ou alors un désir, comme un feu, qui flamboie? Yassar Nehmé-Safieddine et Les Roubâ’iyyât d'Omar Khayyam | Institut du monde arabe. » Maîtresse, on t'aime trop, et tu es trop méchante; Qui donc t'aurait menti? Vois celui qui fut moi. Quand tu me dis: « Eh bien, quelle est cette souffrance Qui te tient, ce désir qui est plus fort que toi? », Quand tu doutes ainsi de l'amour, tu l'offenses Alors que tous, présents ou loin, en feront foi.

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