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Rencontre avec Benoît Jourde avant la permanence du mardi 3 septembre. En 2016, en prévision de l'entrée en vigueur de l'Ani (Accord national interprofessionnel, 355 communes avaient pris part au dispositif "Ma commune ma santé", porté par l'association Actiom (Actions de mutualisation pour l'amélioration du pouvoir d'achat), pour répondre à la difficulté croissante de l'accès aux soins de leurs administrés. La commune de Saint-Georges-d'Orques fait partie de ces premières villes qui se sont mobilisées. L'absence de complémentaire santé est la première cause de renoncements aux soins. Benoît Jourde, référent départemental répond à nos questions. Quelle est la genèse de la création d'Actiom. Où et comment intervenez-vous aujourd'hui? Actiom fut créée dans le Sud-Ouest à l'initiative d'élus locaux. Devant son succès, son périmètre s'est rapidement étendu. Aujourd'hui 2 891 communes ont fait appel à ce dispositif. Nous avons également signé une convention avec des départements, comme le Loiret par exemple.

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Ma santé ma commune, c'est quoi au juste? Il s'agit d'une offre de santé mutuelle qui s'adresse à votre commune avec des tarifs préférentiels négociés avec votre Maire. Cependant il s'agit de contrats individuels et le choix des options et du type de mutuelle vous revient à 100%.

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Afin de fournir des explications complémentaires et répondre aux éventuelles questions, les personnes intéressées seront reçues en mairie par la référente locale, Marie-Josée Bargallo, le 2e et le 4e jeudi du mois de 9 h à 12 h, à partir d'avril, soit le mardi 8 avril pour le premier jour (rendez-vous au 04 68 38 80 34).

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Ce mercredi matin, la Haute autorité de Santé a publié son « anticipation des scénarios possibles à l'automne 2022 », envisagés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Sur cette base, elle a recommandé l'administration d'un nouveau rappel de vaccin contre le Covid-19 dès l'automne prochain, à destination des publics fragiles, plus à risque de formes graves. Il s'agit essentiellement des plus de 65 ans, des personnes sévèrement immunodéprimées et de leur entourage, mais aussi de toute personne souffrant d'un cancer, de diabète, d'obésité, etc. Pas de nouveau rappel généralisé... pour l'heure Tout rappel supplémentaire reste, pour l'heure, exclu en population générale, comme lors de la mise en place de la seconde dose de rappel, en mars. Selon le scénario jugé le plus probable à l'heure actuelle, la HAS estime que ces publics doivent recevoir un nouveau rappel de vaccin à la rentrée. Ce scénario intermédiaire envisage une « reprise périodique » de l'épidémie, avec des pics épidémiques susceptibles de mettre à mal le système de santé - a fortiori en automne et en hiver.

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En prévision de l'entrée en vigueur de l'ANI en janvier 2016, 355 communes françaises ont pris part au dispositif porté par l'ACTIOM pour bénéficier de contrats individuels à tarifs réduits. Retour sur cette expérimentation. Ainsi se dénomme l'opération à laquelle participent 355 communes françaises soucieuses de répondre à la difficulté croissante de l'accès aux soins de leurs habitants [1]. La généralisation de la complémentaire santé pour les salariés du secteur privé prévue par l'ANI en janvier 2016 laissera de côté un nombre certain de personnes: les chômeurs, les jeunes, les personnes en CDD, les intérimaires, les retraités, les fonctionnaires... Ce projet est porté par l'association ACTIOM - action de mutualisation pour l'amélioration du pouvoir d'achat - et déployé par les CCAS et mairies sur le terrain. Si l'intention de l'association est louable, les Mutuelles de France notent cependant qu'il s'agit de contrats aux niveaux de garanties moindres que ceux des « contrats classiques » à dénomination équivalente.

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Il y a un mois, la moyenne sur sept jours était de plus de 76 000. La vaccination tourne au ralenti En attendant, ce sera au gouvernement de décider de suivre - ou non - les recommandations de la HAS. Avant les législatives, dans les trois prochaines semaines, une telle annonce semble improbable. Ces derniers temps, 25 000 personnes reçoivent chaque jour, en moyenne, une seconde dose de rappel (une « quatrième dose », dans la plupart des cas). Seuls 20% des plus de 80 ans et 7% des 60-79 ans s'y sont soumis. La nouvelle ministre de la Santé Brigitte Bourguignon a reconnu ce mercredi sur RTL que ce rythme était « assez faible »: Ça peut se concevoir, ça va mieux, les gens pensent moins à recourir au vaccin. Il faut remettre ce sujet sur la table, et rappeler qu'à l'automne on peut avoir l'épidémie qui revient ou une petite flambée Brigitte Bourguignon, sur RTL, mercredi « Vous ne m'entendrez pas dire que l'épidémie est derrière nous, il y a toujours ce risque », a ajouté la ministre. 7% des Français éligibles pas vaccinés du tout Parmi les risques identifiés, l'intensification de la circulation des sous-variants BA.

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