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Une participation qu'elle a faite en 1955. Une période connue pour le conservatisme des familles marocaines. Outre cette œuvre, l'actrice a pris part à plusieurs films dont «A la recherche du mari de ma femme» de Mohamed Ben Abderrahmane Tazi (1993), «Lalla Houbi» du même réalisateur (1996), «Destind'une femme» de Hakim Nouri (1998), «Elle est diabétique, hypertendue et refuse de crever» du même cinéaste, (2000) et «Les Anges de Satan» d'Ahmed Boulane (2007). Des rôles qui feront que le nom d'Amina Rachid reste gravé dans les annales de l'histoire de la scène artistique marocaine. Auteur: Salima Guisser Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.

Amina Rachid Et Son Mari Aime

Tous les Marocains ont déploré la disparition de la grande dame de la dramaturgie marocaine. Retour sur le riche parcours artistique d'Amina Rachid. Amina Rachid, de son vrai nom Jamila Ben Omar, est née le 11 avril 1936 à Marrakech. Son enfance a été bercée dans l'environnement artistique de la ville impériale, Jamila a développé un certain amour pour les arts, en particulier le théâtre. Elle a découvert ses talents d'actrice alors qu'elle était encore à l'école primaire. Au lycée, dans les années 1950, elle avait déjà acquis une expérience d'actrice amateur dans des pièces de théâtre scolaires. Au début des années 1960, la radio nationale marocaine a annoncé son besoin de nouvelles recrues. Rachid a accepté l'offre et a fait ses débuts dans le domaine du théâtre radiophonique, aux côtés de sa collègue toute sa vie, Habiba El Madkouri, décédée en 2011. Au cours de ses années à la radio marocaine, Amina Rachid a rencontré et travaillé avec des artistes marocains de renom, dont Hamidou.

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C'est lui qui l'a initiée au théâtre. Et c'est lui qui lui a donné son nom de scène: Amina Rachid. "Ma mère n'a pas la langue dans sa poche. Lui, homme intelligent a compris que c'est dans l'expression qu'elle allait s'épanouir, pas seulement sur le plan artistique, mais aussi dans vie de tous les jours en ayant le verbe libre. "Il y avait un amour et un respect parfait entre eux et tous deux avaient une qualité extraordinaire: l'humour qu'ils cultivaient au quotidien. Elle parce que c'est une seconde nature chez elle et lui parce qu'il raisonne toujours au troisième degré. "Cet humour nous a construits en tant qu'enfants. Le jour de sa mort, lui et moi avons déjeuné ensemble et passé trois heures à rire. Me dire que quelques heures avant sa mort, on riait tous les deux aux éclats me réconforte. "Mon père était un homme aux multiples facettes. Les gens le connaissent en tant qu'écrivain et dramaturge, mais il a été également premier violon au conservatoire, érudit sur l'histoire du Maroc… "Il écrivait tous les jours.

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Aujourd'hui de nombreux hommage sont rendus à cette grande dame qui est l'une des actrices les plus appréciées toutes générations confondues. Mes recommandations: « A la recherche du mari de ma femme » ainsi que « Elle est diabétique, hypertendue et refuse de crever » et suites. Deux belles œuvres traitant de sujets sensibles avec beaucoup d'humour et qui ont fait d'Amina Rachid une grande comédienne, un bon moyen de la découvrir! Navigation des articles

Amina Rachid Et Son Mariage

Elle lui passe le savon de sa vie. Malgré toutes les explications saugrenues de son gendre, elle le … Amina Rachid est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice Jawhara, fille de prison Long-métrage – 2003 Jawhara (« Perle » en arabe) est une jeune fille née d'un viol en prison. Quand elle raconte son histoire, ce sont surtout des horreurs de la vie carcérale durant les années de plombe qu'elle a vécu depuis son plus jeune a… Amina Rachid est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice Ruses de femmes (Kaïd Ensa) Long-métrage – 1999 Lalla Aïcha est la fille d'un riche marchand. Orpheline de mère, elle a toujours été gâtée par sa nourrice, Dada; ce qui a fait d'elle une jeune femme capricieuse. Un jour, sur sa terrasse, en arrosant son basilic, elle … Amina Rachid est lié(e) à ce film en tant que acteur/trice Elle est diabétique et hypertendue et elle refuse de crever Hamid est partagé entre sa femme Souad, sa maîtresse Leïla et sa belle mère Hajja. Hamid est le souffre douleur d'Hajja la belle mère acariâtre et névrosée.

Visiblement, la star, de son vivant, Amina Rachid, n'a pas supporté le décès de son mari, Abdellah Chaqroun. Elle n'a pu tenir le coup que pour moins de deux ans pour le rejoindre, lundi, à l'au-delà. Sa tristesse, au cours de cette période, était tellement perceptible lors des événements auxquels elle s'est affichée. En foulant le tapis rouge de la dernière édition du Festival international du film de Marrakech, Jamila Benomar, alias Amina Rachid, semblait attristée par l'absence de son conjoint puisqu'elle était habituée à sa présence à ses côtés à des occasions pareilles. Aussi, au dernier Festival ciné-plage Harhoura, qui lui a rendu hommage, celle-ci apparaissait très triste. C'est dire que son amour lui manquait. Une émotion doublée par la fatigue assez apparente de par l'âge avancé de l'artiste décédée à 83 ans. A vrai dire, la nouvelle du départ de cette artiste était incroyable puisqu'elle laissait voir un air de jeunesse malgré le grand nombre d'années au compteur de son existence.

Un film qui dénonce la polygamie avec beaucoup de douceur et d'humour. Elle joue la suite de ce film, « Lalla Hobbi » en 1997. Suivront alors une série d'œuvres cinématographiques telles que « Voleurs de rêves » de Hakim Noury, « Brahim Yach » de Nabil Lahlou, « La rue du Caire » de Abdelkader Derkaoui, « Ruses de femmes » de Farida Belyazid ou encore « La vie d'une rose » de Abdelamajed Rechiche. Sa collaboration avec Hakim Noury continue en 1990 dans « Destin de femmes » et en 2000 dans « Elle est diabétique et hypertendue et refuse de crever » où elle joue le rôle d'une belle mère tyrannique qui mène la vie dure à son gendre après qu'il ait trompé sa femme. Un film hilarant qui aura deux suites et dans lequel on retrouve une Amina Rachid dynamique et élégante, comme à son habitude. Ainsi, c'est son jeu de rôle, son langage, son visage expressif, ses mimiques et sa moue qui séduisent son public et font d'elle une des figures incontournables du cinéma marocain. En 2007 et 2008, elle participe à des films traitant de sujets importants mais dans des tons un peu plus sérieux: Amours Voilées de Aziz Salmy, une oeuvre qui dénonce l'hypocrisie de la société marocaine vis à vis de la religion et des relations hommes/femmes; et « Al Qods, Bab Al Maghariba » de Abdellah Mesbahi, sur le conflit israélo-palestinien.

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