Par Séverine Caillé Publié le 25/04/2013 à 0h00 À l'heure des vacances scolaires et de l'arrivée tant attendue du soleil, « Le Chabot » largue les amarres pour une nouvelle saison et reprend ses balades sur le fleuve Charente. Un changement est cependant à noter: « Le Chabot » a changé de propriétaire. Ariel Péluchon, après 12 saisons à son actif, cède la main à Pierre-Marie Chevaillier. L'homme avait débuté ses promenades fluviales en 2001 et a conquis quelques fidèles: « Merci aux habitués, familles jarnacaises et amis, qui venaient plusieurs fois dans la saison », tient-il à ajouter. Lorsque Pierre-Marie Chevaillier a appris que « Le Chabot » était en vente, par le biais de l'office de tourisme de Rouillac, il a immédiatement pris contact avec Ariel Péluchon. Pierre-Marie Chevaillier est le gérant de la société de randonnée fluviale basée à Fléac. Charente croisières le chabot rose. Grâce au rachat du « Chabot », il installe donc une de ses antennes à Jarnac. Voyage inaugural en mai À l'occasion d'une visite commentée, lors d'une croisière d'une heure (sans passage d'écluse) ou d'une heure trente (avec passage d'écluses), Christian Soulaneix, le nouveau commandant de bord, propose aux passagers de découvrir la ville, son patrimoine, ses berges et son histoire.
"Ce jour-là, on a mangé à 200. " Il montre l'album photo, les gens avec le sourire, l'ambiance bon enfant. "J'aimerais faire une journée déguisée comme ça tous les ans. " "Là dessus, poursuit-il, La Bélandre s'en va. J'ai commencé à chercher un bateau pour Angoulême. " Il le trouve: c'est la Reine Margot, amarrée depuis février à L'Houmeau. Il met aussi la main sur un petit train touristique pour se balader dans les rues d'Angoulême, qui roule depuis avril. Maillots de bains et tenues soignées Les croisières ne font pas encore le plein: "Je n'ai pas eu le temps de démarcher les autocaristes. Charente croisières le chabot hotel. Ça ira mieux l'an prochain. " Même s'il travaille comme un forcené, il ne se dégage pas de salaire: "Je gagne de quoi rembourser les emprunts et payer mes salariés. " Ils sont désormais douze dans la société, dont six à la Guinguette. "Un jour, j'arriverai à me payer! " Il sourit: "J'ai toujours une idée qui chasse l'autre. Mais maintenant, j'arrête avec les projets. " En plein dimanche après-midi, c'est l'heure du thé dansant.
Il sera suivi, le 10 septembre, par une journée portes ouvertes et une participation à la prochaine Foire-exposition à l'occasion du village sport. La suite de cet article est réservée aux abonné(e)s. Découvrez l'offre Premium: Le journal + L'accès à l'intégralité des articles depuis 1944 + l'Édition du soir + Le Club abonnés Déjà abonné? Se connecter
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