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Dissertation: Le juge et la loi. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 27 Février 2021 • Dissertation • 3 403 Mots (14 Pages) • 551 Vues Page 1 sur 14 Dissertation – Droit privé (20 Novembre): « Le juge et la loi » « L'on ne trouve pas dans les tribunaux trois juges qui aient le même avis sur un article de loi », telle est la manière dont Honoré de Balzac dépeint les relations entre le juge et la loi dans son œuvre Le Père Goriot (1835). Ainsi, le juge semble avoir un réel pouvoir d'interprétation de la loi. Aujourd'hui, la loi est omniprésente dans notre société, et nul n'est censé l'ignorer. La loi peut être définie comme une règle de conduite sociale, une norme qui s'impose à tous, et qui émane d'une autorité souveraine. Qui plus est, si elle n'est pas respectée, une sanction est prévue par l'autorité étatique, de par son pouvoir de coercition. Et, puisque la loi est générale, et donc, impersonnelle par définition, elle nécessite une force afin d'être interprétée et appliquée le mieux possible.

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Il agit pour appliquer la loi au sens stricte, élaborée par le législateur. La création du Code Civil en 1804, a mis la loi au centre de l'organisation juridique. Elle contenait tout et c'était l'unique source suprême du Droit. Il était donc nécéssaire d'élaborer des lois afin d'encadrer le juge et de lui poser des limites. La principale raison était d'éviter l'exercice d'un pouvoir autoritaire comme l'Histoire a pu le démontrer ainsi qu'éviter les arrêts de règlements rendus par les parlements sous l'ancien régime. ]

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Dissertation: Le juge et la loi. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 17 Décembre 2020 • Dissertation • 1 684 Mots (7 Pages) • 822 Vues Page 1 sur 7 Le juge et la loi Montesquieu dans son livre << l'esprit des lois >> montrait les juges comme << Les juges de la nation ne sont que la bouche qui prononce les paroles de la loi, des êtres inanimés, qui n'en peuvent modérer ni la force ni la rigueur >>. Il a ensuite présenté le juge comme un simple interprète de la loi, mais ne peut pas participé à la formulation de la loi. Comme son nom l'indique, le juge est obligé de rendre la justice. Sa mission est caractérisée par ses activités d'arbitrage judiciaire. Cette loi est définie par la Constitution de 1958 comme un texte adopté par le parlement. Il est défini par sa forme et son contenu. La Constitution délimite son mandat à l'article 34 et le place sous le contrôle du Conseil constitutionnel. En recourant à des normes plus élevées, le Conseil constitutionnel peut décider si la loi est conforme à la Constitution.

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Résumé du document "Les juges ne sont que la bouche qui prononce les paroles de la loi; des êtres inanimés qui ne peuvent en modérer ni la force ni la vigueur" a dit Montesquieu, dans "l'Esprit des lois". En effet, un juge est une personne investie d'un pouvoir juridictionnel: sa fonction est généralement de trancher un litige, au regard des lois liées à la situation donnée. Il doit appliquer les lois, soit les règles de droit étant des dispositions normatives dont l'application est garantie par la contrainte étatique: elles régissent la société et permettent de la garder en ordre. Sommaire Le juge, simple bouche de la loi La thèse de Montesquieu: la séparation des pouvoirs Le pouvoir du juge, asservi à la séparation des pouvoirs Le juge, comme une source de droit Rôle nécessaire du juge: interpréter la loi Faire jurisprudence Extraits [... ] Par cet exemple anglais, Montesquieu démontre que c'est la séparation des pouvoirs entre plusieurs organes et non en une seule personne (le roi), qui permet à un gouvernement de rester juste et légitime.

Mais cette extension ne s'est pas accompagnée de l'augmentation du nombre de juges. Du coup, la montée en puissance du juge que cette extension des fonctions semble invoquer n'est en fait pas vérifiée à cause des dysfonctionnements judiciaires qui se multiplient. Cela nous amène à réfléchir sur la légitimité de la crainte planant autour de la menace d'un gouvernement des juges II) La crainte souvent injustifiée du gouvernement des juges Une puissance du juge mesurée Aujourd'hui encore dans la Constitution de 1958, la Justice est considérée comme une autorité administrative et non pas comme un pouvoir à part entière tel que le serait l'exécutif ou le législatif. ] Cela donne un pouvoir considérable au Conseil Constitutionnel. Le Conseil d'Etat lui aussi a su manipuler la hiérarchie des normes. Dans un arrêt dit du conseil national des barreaux du 10 avril 2008, il a su empêcher l'application d'un traité sur la déclaration de soupçons en montrant qu'il était contraire à la CEDH en ce qu'il porte atteinte au secret professionnel, ce qui le rend contraire au droit communautaire.

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